Les réactions après Paris-Dijon et ASVEL-Chalon
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Laurent Legname (entraîneur de la JDA Dijon) dans Le Bien Public : « « Je suis déçu, on espérait un nouvel exploit, on avait cette ambition-là. On savait qu’il fallait que toutes les conditions soient réunies pour le faire, mais on n’a pas existé C’était notre 7e match en 18 jours, et on était au bout physiquement. On n’avait plus assez d’énergie mentale et physique. La débauche d’énergie à Paris (en championnat), à Villeurbanne pour la dernière journée, elle nous a manqué ce soir »
« Eux, on savait qu’ils allaient réagir. Ils ont démarré pied au plancher, avec beaucoup d’adresse. Je ne veux pas retenir ce match-là de notre saison, on est tombé sur plus fort ce (samedi) soir. Je retiens qu’on a atteint les objectifs, poussé Paris au 3e match, et que l’équipe a progressé depuis janvier alors qu’on joue sans notre maître à jouer depuis mi-février (… ) Je suis très content de coacher cette équipe, il y a eu beaucoup de hauts et de bas, et pour ceux qui partiront je leur souhaite le meilleur pour la suite de leur carrière. »
Tiago Splitter (entraîneur du Paris Basketball) dans Le Bien Public : « Il n’y avait pas de doute après le match 2, ce n’est pas le mot. Bien sûr on respecte Dijon, mais on savait qui on était, et que quand on joue avec la bonne intensité, on est fort. A Dijon, on a vu que si on ne mettait pas nos shoots, on pouvait perdre des matches, mais ça a été un bon apprentissage, et on a su répondre. Même avec 30 points d’avance, on a gardé tout le monde concerné sur le jeu, pour que chaque possession compte. »
Andre Roberson (ASVEL) dans Le Progrès : « Nous avons fait un meilleur boulot que lors des matches précédents. Nous avions sans doute manqué de rythme en raison de la coupure après la saison régulière. C’est bien de s’entraîner mais cela ne remplace pas les matches. C’est bien de ne pas être tombé dans ce piège du match 1. Nous avons trouvé petit à petit notre rythme pour donner le meilleur de nous-mêmes aujourd’hui. »
Pierrick Poupet (entraîneur de l’ASVEL) dans Le Progrès : « Je n’ai aucune préférence pour le nom de notre futur adversaire. Mais, si on joue contre Monaco nous aurons clairement la position d’outsiders et je l’aime bien. Le contexte entre les deux clubs ? Ce qui se passe en dehors du terrain, ce n’est pas nos affaires. On va surtout se concentrer sur nous-mêmes. »