Elham Rupert (1/2) : « Mes enfants disent qu’ils sont forcément Manceaux »
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Le nom d’Elham Rupert est apparu une première fois lors d’une tragédie : le décès de son mari Thierry Rupert, en février 2013, à l’âge de 35 ans, après une carrière d’international et suite à des problèmes cardiaques. Elham a accompagné ses enfants vers une brillante carrière de joueuse et de joueur professionnels avec comme base la ville du Mans.
A 23 ans, Iliana est une jeune prodige qui possède déjà un palmarès considérable, aussi bien en club qu’avec l’équipe de France. A 21 ans -le 31 mai-, Rayan a bouclé sa deuxième saison en NBA et est toujours en phase d’apprentissage (89 matches à 3,2 points) et son vœu est de rejoindre sa sœur dans le cercle bleu. Tous les deux portent ou ont porté le maillot 12 avec « Rupert » dans le dos. Comme papa.
C’est avec le cœur d’une maman qu’Elham répond à nos questions. L’interview est en deux parties.
Avez-vous vous-même pratiqué le basket ?
Oui, pas à très haut niveau, et j’ai arrêté lorsqu’Iliana est rentrée à l’INSEP parce que c’était un peu compliqué de tout concilier. On est une vraie famille de basketteurs.
Vous êtes professeur d’économie gestion ?
J’enseigne en lycée en faisant le tour des lycées de la Sarthe et en fait j’ai deux activités car en parallèle je fais de la gestion de patrimoine notamment immobilière. Depuis que Ryan est parti en Australie, je me suis mise en dispo de l’éducation nationale car il voulait que je l’accompagne là-bas. Mais je continue ma deuxième activité.
Pourquoi avez-vous choisi de vous établir au Mans ou du moins à Savigné L’Evêque dans la proche banlieue ?