8 septembre 2024

Basket-ball NBA, Betclic Elite et Euroleague

Dossier NBA: Vous avez dit Looser '

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Génération 90

Qu’est-ce qu’un looser : un joueur au potentiel indéniable qui ne suit pas la trajectoire qui lui était promise et ceci à cause d’un caractère déplorable, d’une hygiène de vie douteuse ou d’une tendance au nombrilisme. Il y a des précédents dans l’histoire de la NBA. Derrick Coleman, JR Rider ou encore Latrell Sprewell ont tous été, si ce n’est des stars, des joueurs d’impact à un moment ou un autre de leur carrière. Coleman valait 21 points et 11 rebonds au bout de 3 ans sur les parquets, Rider valait 20 points, 3 rebonds et 3 passes au bout de deux saisons et Sprewell, sans aucun doute le plus talentueux, 25 points, 4 rebonds et 6 passes à sa cinquième année de carrière. Que sont-ils devenus ‘ Derrick Coleman doit aujourd’hui peser dans les 150 kg et Rider et Sprewell sont plus souvent rendus dans les palais de justice que sur les parquets.

Antoine Walker

Cette année sera la onzième saison de « Toine » sur les terrains de la NBA, une belle longévité et une belle ligne de stats en carrière : en 853 matchs Walker vaut 18 points et 8 rebonds par match. 853 rencontres dans 5 franchises différentes, car si Antoine Walker est capable de mettre le feu sur un terrain, il est par contre incapable d’endosser le rôle du « franchise player ». Il faut savoir que l’ancien Celtic revient systématiquement avec 10kg en trop à chaque reprise de championnat. Riley, qui lui a fait confiance pendant 2 saisons, n’a pas tenu et a fini par l’envoyer manger ses donuts dans une autre crèmerie. Frustrant quand on connaît le potentiel du bonhomme, mais pour jouer et surtout gagner en NBA il ne faut pas seulement avoir du talent, il faut avoir du MENTAL. Walker est le prototype même du joueur que les franchises prennent quand elles ont besoin de points et qu’elles virent aussi sec quand elles ont besoin de victoires. Des points Antoine est capable d’en marquer car Antoine aime shooter. En carrière le n°8 prend en moyenne 17 shoots par match, là où le bas blesse, c’est qu’en moyenne il n’en mettra que 7 ! En onze saisons, Walker c’est 41% à deux points, 32% à trois et 63% aux Lancers Francs… embêtant pour quelqu’un qui se vend comme un shooter ! Maintenant que Walker a réussi à remporter un titre avec le Heat de Miami, tout prête à croire que le joueur va tranquillement se laisser aller vers ce qui ressemble à une fin de carrière. On peut d’ores et déjà avancer que Minnesota n’est certainement pas sa dernière franchise. Alors certes, Antoine Walker aura joué 11 saisons en NBA pour des stats franchement correctes. Bien sûr, le joueur aura pour lui d’avoir compté parmi les meilleurs joueurs de la grande ligue. Il pourra aussi raconter à ses petits enfants quel shooter il était et comment il a remporté un titre que d’autres n’ont jamais réussi à glaner mais ces autres, comme Reggie Miller, par exemple, qui lui était un vrai shooter, auront au moins le mérite d’avoir lutté et d’avoir donné leur maximum pour leur franchise … pas sûr que « Toine », lui, ne ressorte comme le plus grand compétiteur que la ligue n’est jamais connu. Désespérant quand on sait ce dont il aurait été capable.

Steve « Franchise » Francis

C’est l’histoire d’un joueur qui, le jour de la draft, décide qu’il n’ira pas jouer avec les Grizzlies de Vancouver. Trop faible pour un joueur de son talent, trop canadien pour le pur américain qu’il est, Steve refuse catégoriquement de revêtir le maillot de Vancouver. Les Grizzlies, trop occupés à construire une équipe qui peut aligner deux victoires de suite, ne veulent pas se prendre la tête avec un joueur déjà détestable et le transfèrent aux Rockets contre les mythiques Michael Dickerson, Othella Harrington, Brent Price et Antoine Carr… management quand tu nous tiens ! Steve Francis part donc pour le Texas et intègre une franchise qui se cherche depuis son dernier titre de 1995. Le meneur va alors montrer qu’il est effectivement un joueur d’exception en affichant des statistiques de All Star avec une saison 2001-2002 de haut vol : 22 points, 7 rebonds et 6 passes par match. Seulement, il faudra attendre 5 saisons avant de voir Francis emmener les Rockets vers les Play-Offs, bien aidé il faut dire, par la confirmation du talent de Yao Ming. Le front office de Houston, douteux de la capacité de Steve Francis d’être justement Steve « Franchise », décide alors de le transférer vers Orlando et récupère en échange Tracy McGrady, un joueur d’une toute autre classe ! Si T-mac a connu trois fois sur quatre saisons le bonheur des Play-offs avec les Magics, Francis lui va échouer. Les Magics, se rendant assez rapidement compte de la boulette qu’ils viennent de faire en laissant partir un futur « Hall of Famer » pour un égocentrique complètement démobilisé, ne vont pas traîner à échanger une nouvelle fois Steve Francis. Une saison et demie sous le maillot d’Orlando et le meneur prend la direction de la Mecque des nombrilistes : New York. L’époque Knicks de Francis marque le début de la fin de sa courte carrière, en 68 rencontres, dont 45 comme titulaire, le meneur va chuter à 11 points, 3 rebonds et 3 passes de moyenne en 28 minutes de jeu. Nous voilà bien loin de la saison 2001-2002 où Francis tutoyait les sommets NBA. Incapable de l’associer à Marbury ou Jamal Crawford, Isiah Thomas décide alors de le transférer à nouveau. Direction Portland dont il ne portera même pas le maillot puisque les Blazers n’ont aucune intention de briser le bel élan qu’ils sont en train de construire autour de jeunes comme Brandon Roy avec un joueur capricieux comme Steve Francis. Portland rachète donc son contrat. Un rachat de contrat est quand même généralement réservé aux joueurs trop chers dont on ne veut plus et dont on sait pertinemment que personne ne voudra non plus. Libre de signer où il veut, le meneur décide de revenir aux sources de son succès : Houston. Avec les Rockets, Francis est sûr de retrouver son lustre d’antan, d’autant que la franchise a bien avancé depuis son éviction et qu’elle fait désormais figure de favoris à l’Ouest. Seulement voilà, le Steve Francis n’est plus « Franchise » et Rick Adelman, nouveau coach, n’a aucune intention de lui laisser les clés de la maison, loin de là. 10 matchs de saison et Francis n’a toujours pas foulé le parquet, le joueur en est réduit à la simple expression du coupeur de citron. Il passe désormais derrière Rafer Alston et Mike James. Combien de temps va-t-il résister ‘ L’orgueil piqué à vif, Steve Francis ronge son frein et attend son heure. Qui sait la patience finira peut-être par payer…5 matchs de Play-Offs en 8 ans de carrière, ça vaut sûrement le coup d’attendre.

Stephon « Starbury » Marbury

Enfin, terminons avec le chef de file des loosers NBA. Marbury ou comme il s’est autoproclamé « Starbury » (sic) est un joueur à part en NBA. Le meneur New Yorkais est un très bon joueur peut-être un des meilleurs meneurs que la ligue n’est connu, en tous cas en terme de talent pur. Dès sa première saison, le jeune Stephon tourne à 17 points et 8 passes par match. Il forme d’ailleurs avec Kevin Garnett le duo du futur. Les fans des Wolves tiennent là un tandem qui allie explosivité et insouciance et qui n’est pas sans rappeler la fraîcheur universitaire. Pas étonnant quand on sait que les deux joueurs ne sont encore que des gamins (19 et 20 ans) qui devraient faire leurs classes sur les bancs de la fac. Ceci explique l’optimisme ambiant du côté de Minnesota. Malheureusement le rêve sera de courte durée puisque dès sa troisième saison, Marbury demande à être transféré vers, officiellement, une franchise plus proche de son New York natal et, officieusement, une équipe où il pourra être le roi sans avoir à partager le trône. Ce sera avec les Nets de New Jersey que Stephon désormais « Starbury » va connaître ses meilleures saisons, en tout cas sur le plan statistiques, car sur le plan des victoires on peut trouver à y redire. En trois saisons sous l’uniforme gris du New Jersey, le bon vieux Marbury n’emmènera pas une seule fois son équipe en Play Off. La saison suivante sera celle d’une nouvelle franchise, transféré aux Phoenix Suns contre Jason Kidd, Stephon Marbury quitte une franchise qu’il juge incapable de gagner pour une autre pleine de promesses. Bien vu Stephon ! 2001-2002 : rien, 2002-2003 : 6 matchs de Play-offs et 2003-2004 : transfert vers une troisième franchise. Dans l’entre temps, Kidd va emmener les Nets, dès sa première saison, vers le record de victoires de la franchise (52-30, soit 26 victoires en plus que sous l’ère Marbury) et vers deux finales consécutives. Depuis son arrivée, les Nets participent tous les ans aux Play-offs… un ange passe. Où l’on reparle de la capacité à être leader. Depuis 2003-2004 Marbury a donc vu son rêve se réaliser : Jouer à New York ! Depuis 4 saisons donc, le meneur évolue sous le maillot mythique des Knicks et depuis 4 ans c’est… pitoyable. Le site Internet en est d’ailleurs la preuve puisque si vous vous référez à l’histoire de la franchise celle-ci s’arrête brutalement en 200-2001. Comme si les New Yorkais s’étaient arrêtés à la période du grand Pat Ewing, dernier véritable leader que la franchise ait connu. La période Marbury n’existe donc pas pour « Big Apple » car si les statistiques du joueur sont toujours convenables, quoique décroissantes depuis deux saisons, les résultats de l’équipe sont indignes d’une telle franchise. Marbury n’est pas un leader et ne le sera jamais, trop obnubilé par sa personne le joueur n’aura connu en onze ans de carrière que 18 matchs de Play-Offs. Trop peu pour un joueur qui se prétend, comme ce qu’il se fait de mieux dans la ligue, au poste de meneur. L’ère Marbury est sur le point de se terminer à New York puisque des rumeurs de rachat de contrat (carrément !) courent dans les travées du Madison Square Garden. Problème pour le joueur, peu d’équipes veulent de lui, Lebron James a déjà dit qu’il ne voulait pas d’un type comme lui à Cleveland. 4 franchises et 4 échecs pour celui qui appelait Tony Parker le soir de son premier titre pour le féliciter de rentrer dans le top3 des meneurs avec lui bien entendu. Toutes les équipes que Marbury a connu se sont révélées avec un autre meneur : Les Wolves avec Cassel, les Nets avec Kidd ou les Suns avec Nash … Tout n’est donc pas perdu pour les Knicks, en tout cas s’ils virent Starbury. !

0 thoughts on “Dossier NBA: Vous avez dit Looser '

  1. Et si Mr Boris Diaw himself venait s ajouter ette liste Certains vont dire que c est dur, mais le cas Boris Diaw ressemble de plus en plus elui d un joueur des ann 90, Pervis Ellison alias « Never Nervous » (!). Quoi que l on en dise (l altruisme de Diaw, la vive concurrence dans son ipe…), si Diaw le français continue sur sa lanc sa carri NBA risque de se finir pr tur nt (déjà qu elle avait peiné à commencer). Comment en effet peut-il et peut-on se satisfaire de ses statistiques apr un titre de MIP suivi de playoffs hallucinantes C it aussi le cas de Pervis Ellison et qui se souvient de lui Et, pour l heure, ceux qui pensaient que l échange Joe Johnson/Boris Diaw avait permis aux Suns de réaliser un vrai steal pointent aux abonnés absents (et pendant ce temps là à Atlanta, Joe confirme et a explosé). Oui, Boris nous la joue remake et j ajouterai même « jusqu ici tout va bien ». Reste qu on dit d un Phénix qu il renaît toujours de ses cendres. Espérons que ce n est pas qu une légende.

  2. heuuuuu boris diaw un looser il faut avoir fumer pour dire ca … franchement moi je suis un vrai fan de ce joueur, il apporte dans tous les compartiments du jeu et il ne fait pas de l ombre aux autres joueurs, bref il est vraiment au service du collectif. Et pour ce qui est de ses stats bin qd il était aux hawks il ne jouait pas et l année ou il a été élu MIP n oublions pas que amare stoudemire était blessé toute la saison 😉

  3. On peut difficilement nier que pour un MIP, les stats de diaw sont à la baisse et pas qu en NBA, même en équipe de France… Et puis, comme je l indiquais, on peut toujours dire qu il est altruiste (au service du collectif donc) et que Phénix dispose d un roster très deep, mais est-ce que tout cela peut justifier une baisse de stats… Comme je l indiquais, sa carrière est en jeu…

  4. Désolé mais Boris joue super bien! mais seulement quand Stoudamire est blessé, donc c le fait d être surutilisé qui le rend balèse pas le fait d être un joueur de complément

  5. bin oui forcément qu il a une baisse de stat vu les stars qui jouent avec lui et ca n est pas l arrivée de grant hill qui va faire gagner du temps de jeu à boris. C est vrai que ses stats sont en baisse mais son temps de jeu aussi et pour ce qui est de l équipe de france je pense qu on lui en demande bcp et qu il ne faut pas voir en lui un capitaine mais juste un role player comme le role qu il tien en nba (enfin tt ca c est mon avis)

  6. Comment expliquer l éffroi que je ressens à lire cet article. quand je parlais de « conneries » je ne pensais pas en voir d aussi grosses et ridicules. Donc il faut que tous les joueurs aient une parfaite hygiène de vie, un caractère agréable et tout beau tout lisse. Je propose aussi qu on leur mettent tous un code barre dans la nuque pour bien vérifier qu ils sont au lit après 22h. Qu est ce que c est que cette mentalité de traiter des joueurs de cette manière. Pour la plupart ils ne se sont pas réveillés un dimanche, alors qu ils avaient 7 ans en se disant  » je serais basketteur pro ». Ils se sont sortis le doigt pour pouvoir arriver où ils en sont! Ils se sont bougés bien plus qu aucun sur ce forum pour survivre! Des loosers Il faut vraiment être dépité et aigri pour traiter ces grands joueurs de loosers. Sales caractères Putain oui je veux le basket c est un sport de rats de l opera ou de ballerines! C est vraiment pitoyable d en arriver à insulter des joueurs, des stars du basket qui sont pour beaucoup à travers le monde des modèles. Il faut vraiment manquer de respect envers soi-même et envers le basket pour en arriver à de telle bassesse. Désespérant!

  7. climdream relis l article, je pense que tu n as pas compris. ces joueurs sont payes des millions. c est normal que les attentes soient elevees. a quoi bon lire des articles qui disent que tous le monde est beau et tous le monde est bon. au moins ici les auteurs osent dire les choses telles qu elles sont !

  8. climdream tu peux ne peut pas contredire ce qui ai dit ds ct article, tt est véridique, basé sur des faits concrets. ok ces joueurs ont bossé durs pr arriver en nba, mais une fois arrivé en nba et les millions avec, mode pépère, je fais mes stats, jencaisse mn cheque et osef les resultats de ma team. marbury il a jamais rien fait sauf des stats, on crame des joueurs comme ca pqe ils auraient la possibilté de tt casser… et ils font rien pr y arriver. so bien fait pr eux, ils ont du talent, mais ils ne l exploite pas. un mec comme big ben wallace en est arrivé la (titres de best defenseurs et titre nba) pq il a bossé comme un fou alors qu il n avait aucun talent. so no excuse for these guys!

  9. climdream on appelle ça prendre position! C est justement parce que tous les joueurs ne sont pas irr ochables qu il y a cet article. A moins que tu pr res un article ou on encense les joueurs NBA m ceux qui, comme Sprewell, gagnent des millions et trouvent le moyen de se plaindre de n e pas assez pay Ce que je trouve d p nt c est que tu passes ton temps enir critiquer les articles mais que tu continues enir les lire. Si t aimes pas tu passes ou alors tu donnes ton avis sans donner de le ou alors tu prends le risque toi aussi d ire des articles et de te soumettre a critique. C est tellement plus facile de venir et de d ner tous les gens de ce forum … mon dieu tu as choqu .

  10. Dans la catégorie des loosers vous oublier de parler de shareef abdur-rahim. Autant certains joueurs sont dans les bonnes équipes au bon moment, n est-ce pas mr horry (7 titres avec 3 équipes différentes), autant la carrière de ce bon vieux reef ressemble a un chemin de croix.En, effet sortie de la grande draft 96 (iverson, kobe, nash, allen,mais aussi je vous l accorde walker) reef fait une très bonne 1ère saison sous le maillot des grizzlizes ou il est bombardé d entrer comme le franchise player.Puis après 5 bonnes saisons à vancouver ou il aurait pu être all-star(il ne là jamais été) sans jamais connaitre la post season il est transferé dans la franchise moribonde d atlanta contre pau gasol alors encore rookie! C est dire si sa franchise c est lassé de lui!Il conserve des stats honorable alors que sa franchise coule a pic.Enfin cerise sur le gateau il est transferé chez les jails blazers de portland ou il
    se blesse et ses stats chutes rapidement sans jouer les playoffs bien sur!Ensuite,il devient free agent et signe avec les Kings de la période post webber-stojakovic (pas de chance) ses stats sont dérisoire et il n arrive pas a s imposé dans une équipe ou le secteur intérieur est faible se faisant même piquer sa place par kenny thomas! Celui là même avec qui il se battra à l entrainement pour arranger le toût!
    Pour terminer cette saison il ne joue quasiment plus et est devenue un role player parmis tant d autre.Voila l histoire d un joueur qui n a jamais rien gagné sur le plan aussi bien collectif qu individuel alors qu au départ c est un joueur bourré de talent.

  11. Bon résumé pour shareef. Mais selon moi, c était pas un looser. Car effectivement, c est son talent (!) qui l a obligé au départ à végéter dans des équipes en pleine reconstruction (ou construction d ailleurs pour les Grizzlies) et je suis aussi d accord pour dire que les blessures ont eu raison de sa carrière. En ce qui concerne Diaw, il est sans doute encore trop tôt (et c était bien mon point de vue) pour dire qu il est un looser. J étais aussi le 1er à souligner son sens du collectif et la difficulté de rivaliser avec des types de la trempe de Stoudmire (relire mes posts). M enfin, Grant Hill ne semble pas avoir ce genre de difficulté…. De plus, je le redis, et même si on oublie l équipe de France, les faibles stats de Diaw en NBA pourraient, à terme, lui coûter sa carrière. Les GM et proprios ne sont jamais éternellement patients en NBA . Boris peut marquer bien plus les esprits. Donc evidemment, Boris peut et doit se ressaisir, ce qui est bien sûr possible : c est là que l on saura qu il n est pas un looser et c est bien tout le mal que je lui souhaite ! Ce qui m agace, c est le manque de gnac dans toutes les interviews de Boris : on a l impression d entendre toujours le même refrain, « jusqu ici tout va bien »… C était aussi ce que devait penser l ancien MIP Pervis Ellison, surnommé Never Nervous ! Et qui s en souvient

  12. Putain ils ont oublié le « Master of lose »… J ai pas vu Kobe dans cette news. Quand tu arrives a faire partir le pivot le plus dominateur de l histoire de la ligue, que tu te masturbes sur tes stats persos, que tu gagnes plus rien collectivement et que tu arrives à foutre un bordel monstre dans le staff d une équipe… Pour blaser Mister Zen, Phil Jackson, faut vraiment avoir de la merde dans la tete.

  13. TT je comprend ton point de vue et il me sied, même si je ne suis pas tout à fait d accord avec toi sur la teneur des articles. J ai relu celui-ci (je dois être mazo) et d autres et je crois qu il y a une grosse différence qui échappe à certains auteurs: la différence entre être critique et objectif, et être médisant. C est mon point de vue pour l instant je ne demande qu à en changer, je le souahite de tout coeur car cela voudra dire (pour moi) que la qualité des articles s est améliorée.
    toine je comprend aussi ta position, je ne suis pas ok pour dire qu ils se la joue pèpère, je crois qu il y énormément de facteurs extra-sportifs qui doivent être pris en compte et que la plupart des pékins que nous sommes ignorent. Pour les millions de dollars tant mieux pour eux ça ne me gène pas (cf les fameux facteurs extra sportifs). Le jour ou un joueur touchera autant qu un manager de NBA là je serais peut être plus regardant sur ce point.
    Wism, ah j ai lu un article d un étudiant en grève dans le journal dont le ton, l impétuosité et l acidité était similaire aux tiens. Au final son message est passé complètement à la trappe et on n en retient que le côté règlement de compte… dommage.
    Et pour shareef c est vrai que ce gars est maudit le pauvre, sa carrière NBA est jalonné par les mauvaises équipes au mauvais moment. malgré un potentiel et un talent évident. Cependant je prèfére me rappeler de lui en sauveur de Teamn USA lors des JO de 2000. Une médaille d or ce n est pas rien quand même, surtout quand on en est un des principaux artisans!

  14. Boris Diaw dans la liste des losers il y en a qui connaissent vraiment rien au basket .. Antoine Walker, Marbury et Francis completement d accord surtout pour walker, qu est ce qu il est devenu depuis qu il est aux heat ….

  15. Climdream, je vais me justifier puisque apparement tu n adhères pas à ce que j ai écris. Le titre de mon article est volontairement provocateur mais en aucun cas il ne se veut médisant. Comme je le mentionne plusieurs fois c est avant tout pour souligner le gâchis de tels potentiels que je me permets de les classer « looser ». Marbury est un joueur fantastique sur le plan sportif mais je pense que son leadership peut être remis en cause ainsi que plusieurs de ses choix. Attention je ne dis que j aurais pu mieux faire, loin de là. Je suppose que de passer de la misère à la vie de millionnaire peut faire tourner la tête. Mais les trois joueurs dont je traîte auraient pu faire tellement mieux. Je te l accorde le mot « looser » peut choquer (en tout cas vu les mots que tu emploi pour qualifier l article sur ton premier post cela a du te choquer). En tout cas je prends note de ton avis pour la suite. La critique fait avancer, en tous cas je le crois.

  16. Milicic est un jeune joueur qui a croisé le mauvais coach pour sa première saison et qui n a pas encore atteint son potentiel maximum, on va attendre encore un peu et je pense qu il va ce hisser à un niveau supérieur.
    Merci Julien de ta réponse c est agréable de voir qu il y a un suivi. Désolé si les mots que j ai employé sont très durs mais c était directement à la volée à la lecture de ton article qui en effet m a choqué. Je n adhère toujours pas au titre ni vraiment au contenu. Je pense que bcp de joueurs auraient pu mieux faire comme tu le dis, mais je ne les vois pas comme des loosers plutôt comme des hommes tout simplement. Certains hommes relèvent tous les défis d autres non. De certains on attend souvent trop. Ewing n a pas gagné une bague de champion, Barkley non plus. Qui oserait dire que ce sont des loosers Je pense que comme partout il faut des têtes de turcs et ce sont toujours ceux qui sortent du moule qui sont touchés. Le fait que tu ais choisis ces mêmes têtes de turcs me conforte dans le fait que c est surtout à cause des médias que ces joueurs sont visés. Il faudrait peut être aussi leur rendre justice pour tout le rêve qu ils nous offrent. Voilà voilou merci de ta réponse

  17. Larry Brown it un grand coach, il n est pas comme les Phil Jakson qui arrrivent dans des ipes casiment d constitu sauf pour ces 2 dernir saison je le reconnait) lui quand il arrive dans des franchise y a rien

  18. merdic ton article moi qui suis fan des Knicks et mon joueur préféré ces Sprewell et j aime bien Marbury et Francis,ta oublié en 1999 Spree et les Knicks ont fais quoi ! en + quel gachie de ne faire pas joué Steve Francis ! il étais bien heureux de l avoir dans leur effectiff ya 7 ans
    puis yen a qu il dise que Francis est fini………….attendez il n a que 30 ans il n a pas 32 pige comme Iverson qui lui sera bientot fini 🙂 j éspére en tout cas j ai jamais aimé Iverson……………………..

  19. wai ben moi je di kil en manque encor un et de loin le meilleur de tous: Zach Randolph encor un cancer pr toute ékipe le possédant le gars qui arrive a faire perdre une équipe moyenne mais qui tien la route a lui seul avec randolph sur le terrain il fodrai au moin 2 ballons un pr lui et lotre p le reste des joueur en attak

  20. jsuis pas d accord pour walker d ailleurs tu le dit toi meme c est un joueur avec une bonne ligne de stat et partout ou il a été il a mis sa patte ok il n a jamais été et ce ne sera jamais un franchise player mais c certainement pas un looser, le nombre de gars en nba qui n afficheront jamais cette ligne de stats …

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