19 septembre 2024

Basket-ball NBA, Betclic Elite et Euroleague

Dossier NBA : 'Big Three' Part 4/4

7 min read

4. New Jersey

On pourrait presque dire que New Jersey et son coach Lawrence Franck sont les précurseurs en la matière. Voilà maintenant un peu plus de deux ans et demi que New Jersey profite d’un des plus beaux trios que la NBA n’est jamais connu. Du fast break en veux-tu en voilà, de la passe aveugle, des dunks en haute voltige, des Halley Hoop… enfin bref, pour faire court mieux vaut être un fan des Nets que des Knicks. En intégrant Vince Carter dans leur effectif, le front office de New Jersey prenait un risque. A cette époque Air Canada se lamentait aux Raptors et sa carrière prenait tout droit le chemin de la diva qui ne gagne rien et que tout le monde finit par oublier. Tout bien considéré, les Nets choisissent quand même d’acquérir Carter et de l’associer à Jason Kidd et Richard Jefferson. Bon choix puisque, premièrement, Vince a retrouvé ses gambettes de ses débuts, deuxièmement, il s’est parfaitement intégré au collectif et ce sans aucune prétention, troisièmement, il est devenu l’arme offensive numéro un devant un Kidd ravi de lui laisser sa place et d’un Jefferson qui préfère l’ombre à la lumière. Avec ces trois joueurs, New Jersey ne gagne pas plus de match qu’avant, faute d’un un manque évident à l’intérieur, mais ils figurent chaque saison en Play Off et sont capables d’inquiéter n’importe qui sur une série. Kidd reste le plus fantastique créateur de la ligue et Jefferson le joueur sérieux que toutes les équipes aimeraient avoir dans son effectif. Cet été, voire l’hiver dernier, tout le monde annonçait la fin du trio. Kidd aux Lakers, Carter aux Magics, etc. Il n’en n’est rien et bien au contraire puisque Vince Carter a même signé une prolongation de contrat avec la franchise. Renforcé de Jamaal Magloire et Darell Amstrong les Nets ont pris de la bouteille. Insuffisant sûrement pour espérer un titre mais, sans vouloir se répéter, Kidd-Carter-Jefferson… sur une série on ne sait jamais !

3. Boston

La voilà la nouveauté 2007-2008, la grande attraction de ce début de saison, là où tous les yeux seront braqués pour le premier match. Boston n’était plus que l’ombre d’elle-même, la franchise aux 16 titres n’a plus gagné le trophée depuis 1986 soit 20 longues années. Pire, les verts n’ont plus connu la joie de l’après saison depuis maintenant deux saisons. Pierce avait prévenu, si les Celtics ne se renforçaient pas de manière significative il irait vendre ses talents sous une nouvelle tunique. Le message fut bien retenu, fort bien même car Boston s’est plus que renforcé : Ray Allen et Kevin Garnett seront les nouveaux tenanciers de la boutique Celtics, soit 48 points, 17 rebonds et 8 passes par match en plus. Pierce-Allen et Garnett, là on ne touche carrément plus terre tellement la somme de talent réuni frise l’hystérie. Attention pléthore de stars n’a jamais été synonyme de résultats. Rappelez vous un certain quatuor composé du shaq, de Kobe, Karl Malone et Gary Payton, des étoiles plein les yeux mais un ramassage complet en finale (tout de même). Sauf que ce quatuor galactique ne respirait pas franchement l’intelligence ni la modestie, ce qui, à mon humble avis, n’est pas le cas à Boston. Ces trois joueurs là sont des vrais compétiteurs qui n’ont jamais été considérés comme des bouffeurs de ballons qui tirent la couverture à eux, bien au contraire. Il y en a sous la caboche des trois lascars et tous les trois ont trop envie de glaner au moins un titre d’ici la fin de leur carrière que rien ni personne ne semble en mesure de les empêcher d’atteindre au moins la finale de conférence. Le hic, car il y a un hic, c’est que Danny Ainge, dans son opération sportive et marketing, s’est quand même séparé d’un bon paquet de joueur et des jeunes talentueux en plus. Il faut donc recruter et ceci sans forcer sur le porte monnaie. Les Celtics enregistrent donc les arrivées de Eddy House, Scott Polard et James Posey. Accompagnés du jeune Rajon Rondo et des explosifs Kendrick Perkins et Tony Allen, ils ont une équipe qui tient la route mais qui ne se connaît pas. Une saison régulière c’est 82 matchs soit bien assez de temps pour apprendre à jouer ensemble. Quoiqu’il arrive les Celtics ont cette année le potentiel pour aller au bout, il ne reste plus qu’à mettre en pratique.

… Au fait, petite explication cela peut paraître étrange de ne pas avoir mis ce « Big Three » en pôle position du classement. Intrinsèquement la valeur de ce trio n’a pas d’égal cependant il serait présomptueux de leur donner la première place sans qu’ils n’aient au moins joués quelques matchs ensemble…remember Lakers 2004 !

2. Phoenix

La médaille à d’argent pour les Suns et son superbe trio Marion-Nash-Stoudemire. Quoi de plus beau que de voir jouer les suns ! Mike d’Antoni est un coach qui sait faire jouer et qui a tout compris au basket. Le basket selon Phoenix respire le jeu et l’envie de jouer pour gagner. Avec les Suns on ne s’ennuie pas et ce grâce à un joueur fantastique : Steve Nash. Double MVP, le canadien ne ressemble pas à une star, en tout cas il n’en pas le physique mais par contre, une fois sur le terrain, il reste le joueur le plus insaisissable de toute la ligue. Il marque, passe, crée … en bref, Steve est un patron et les Suns une équipe qui vit grâce à lui. Associé à Shawn Marion et Amare Stoudemire, le meneur mène chaque saison cette équipe vers des records de victoires. Malheureusement à chaque fois une équipe se dresse devant eux pour la course au titres. S’imposer dans la conférence Ouest relève de l’exploit et Dallas et San Antonio ont chaque fois fait mordre la poussière à cette équipe plutôt tournée vers l’offensive. On serait tenté de dire que cette année est peut-être la dernière chance pour les Suns d’aller au bout. Nash aura 34 ans en février et le temps va finir par faire son œuvre quoiqu’il arrive. C’est aussi la dernière chance pour Stoudemire et surtout Marion de prouver que D’Antoni a bien fait de parier sur eux, si les Suns ne passent pas cette année il y aura certainement du mouvement dans la maison Phoenix. Mais cette saison peut être la bonne d’autant qu’il vient d’arriver Monsieur Grant « La classe à l’état pur » Hill dans les rangs des Suns. Certes, Hill n’est plus capable d’apporter ce qu’il donnait du temps de Detroit mais avec Phoenix il n’est plus l’option N°1 et il faut avouer qu’avoir Grant Hill qui sort du banc … et bah ça le fait. Donc rien que pour Nash et Hill, ces deux gentlemen, de la NBA on aimerait que ça passe cette saison.

1. San Antonio

Il est là notre champion et dans tous les sens du terme. Il était évident que s’il doit y avoir un « Big Three » mis en avant c’est bien celui des Spurs. Ce n’est certainement pas le plus populaire ni le plus flashy mais c’est de loin le plus efficace et de surcroît le plus titré ! 3 bagues en 5 ans, qui dit mieux ‘ Tony Parker-Emmanuel Ginobili- Tim Duncan, un meneur, un ailier et un intérieur ou encore un français, un argentin et un américain. L’amalgame parfait du basket international. D’aucuns diront qu’on s’ennuie quand on regarde les Spurs de notre TP international. Pas faux. Le basket rigoureux et sans frasques de Popovich n’est pas le plus agréable à regarder. Mais si vous êtes passionné de basket vous noterez à quel point ce basket est tactique et efficace. Chacun sa pierre à l’édifice et à chaque match un nouveau leader. Au basket froid et technique de Duncan viennent se suppléer les percées artistiques et indéfendables d’El Manu ou les sprints achevés de Tear Drop au nez et à la face des « gros façon » Parker. On ne peut nier que la plupart du temps les Spurs n’inscrivent pas plus de 100 points et que la défense est leur fer de lance mais Michael Jordan himself disait « l’attaque fait lever la foule et la défense fait gagner les titres ». De plus la mécanique Spurs est parfaitement huilée pour enrayer toutes initiatives adverses. Chaque joueur à son rôle et le récite comme une partition apprise par cœur : à Horry les shoots hors du temps, à Bowen la défense sur les stars qui le prennent de haut et au trio les points qui font gagner les titres. 3 sur 5. Alors oui sur un trois/trois TP-Duncan-Ginobilli contre Allen-Garnett-Pierce, il y a de grandes chances que le trio du trèfle s’impose mais le basket ne se joue pas à 3. Le bien fondé d’un trio équilibré est évidemment qu’il amène le danger de partout. Pour les Spurs si cela ne vient pas de l’intérieur ça viendra soit de l’aile soit du meneur. C’est de cette évidence que vient toute la force de ce trident. Au départ il y a bien dix gars sur le terrain, 5 contre 5, mais à la fin c’est toujours les Spurs qui gagnent.

Carter, Kidd, Jefferson, Allen , Garnett, Pierce, Marion, Nash, Stoudemire, Parker, Ginobilli et Duncan… avouez que je vous avais garder le meilleur pour la fin !

0 thoughts on “Dossier NBA : 'Big Three' Part 4/4

  1. Bravo Julien, que de boulot encore abattu.
    Je profite de ton article pour ajouter une chose sur la référence Shaq-Kobe-Malone-Payton.
    Ce que tu dis pour feu les 4 fantastiques est vrai… Cette véritable Dream Team (Shaq, Kobe, Malone et Payton, quand-même !) ne gagna qu une manche (et encore, sur un exploit de Kobe) et fait souvent l objet de critiques en ce qu elle démontre qu empiler les stars (comme d autres les niches fiscales) ne permet pas de parvenir au bout. Ceci dit, ces critiques me paraissent devoir être nuancées. Bien sûr qu il ne suffit pas d empiler des stars, sinon New Jersey et Houston seraient déjà champions. Mais les 4 fantatisques (alias Lakers Reloaded) étaient quand même parvenus à évincer le big three de Minnesota (Garnett, Spreewell et Cassel) ainsi que celui des Spurs (Duncan, Gino et TP) et à se hisser jusqu aux finales. Ce fut quand même superbe ! On oublie trop vite que les 4 magnificients ne jouaient ensemble que depuis le début de la saison (ce qui concerne quand même un remaniement de poids dans le 5 majeur…). On oublie également que, pendant ces finales, Shaq fut esseulé pour cause de genoux défaillant du Mailman, que Kobe devait silloner les Etats-Unis y compris les veilles de match pour son procès pour viol et que Gary Payton n a jamais voulu assimiler l attaque en triangle (il ne s en ait jamais caché), ce qui a fini par coûter cher puisque Larry Brown décidé d asphixier Payton (c est ce qui s appelle mettre the glove dans sa poche) et par conséquent l attaque des Lakers. Tout cela n entâche en rien le mérite des Pistons qui les ont éliminé. Mais je pense qu il faut quand même rétablir une vérité sur les Lakers de 2004. Bref, aussi, leur rendre justice.

  2. Pour les Suns, Grant Hill semble démontrer en pré-saison qu il a encore du jus dans les cannes. Boris Diaw a intérêt à se réveiller car depuis la signature de son gros contrat, sa saison NBA et sa participation à l équipe de France furent bien ternes. Bien sûr, ce doit être difficile pour lui depuis le retour d Amaré (il ne reste plus beaucoup de tickets shoots, notamment) mais quelle vista il avait démontrait en playoffs il y a 2 ans. Si boris pouvait faire évoluer son niveau, là les Suns pourraient être injouables. Boris est-il devenu la clef qui pourrait leur ouvrir les portes de la finale Si tel est le cas, il pourrait aussi devenir un bouc émissaire en cas de conclusion décevante. C est donc l année ou jamais pour les Suns ET pour Boris.

  3. Enfin le back to back pour les Spurs Les hommes de San Antonio – qui ne gagne que les années impair (1999, 2003, 2005 et 2007) – peuvent-il briser cette malédiction Pour tout dire, je n en ai aucune idée…

  4. Judge Dread, j ai affaire à un lecteur de poids et je dois dire que cette fois ci et bien nous sommes d accord pour toute la ligne. Aussi bien sur les lakers 2004 que sur les chances de Diaw de poursuivre avec les Suns s ils échouent à nouveau. Par contre pour ajouter du beurre à nos épinards respectifs (ça change de l eau à nos moulins!) je pense que le fait que les lakers façon galactics ont bien démontré quelque chose que les Bulls avaient démontré à leur époque : à savoir on ne contruit pas une équipe sur un ou plusieurs noms mais sur la complémentarité de ces derniers. Les lakers étaient évidemment très fort MAIS il n y avait pas de cohérence dans cette équipe et trop d égos (et je peux t assurer que c est un fan des Lakers de la première heure qui t en parle). Ils ont chuté face à une équipe dévolue au collectif plutôt qu à leurs stats. Prince, Billups, Wallace (ben) et Hamilton … que des joueurs qui ne cherchent pas la lumière mais bel et bien la meilleure façon de gagner des titres.
    Les bulls à leur époque ont monté L EQUIPE. Jackson et consorts ont su associer à Jordan des éléments comme Pippen ou Grant, voire Paxson ou Cartwright, qui joueraient pour un système, un joueur… un titre. Comme tu l a souligné Payton n a pas voulu s adapter résultat il n a eu le titre que comme doublure de Wade. Je dois d ailleurs avouer que Phil Jackson me décoit un peu dans ses consrtuctions d équipe actuelles : évoquer l idée d échanger Odom me semble la pire idée tant ce joueur a le profil de joueur qu il faut. De la même manière que je doute que les SUNS aillent au bout tant Marion semble sur la mauvaise voie en ce moment. ALors spurs comme tu dis ce n est pas une année impair Alors qui la saison est longue et c est là ou réside le charme de la NBA…nobody knows

  5. moi je suis a 100% d accord avec vous enfin des gens qui me comprennent plutot que tout ceux qui voyent tout de suite les celtics champion. Et puis aussi je pense que boris va faire une grande saison (rien que son dernier match peu en prouvé 6 points mais 11 rebonds et 9 passes, mais bon on ne juge pas un joueur sur un match et heuresement!).

  6. je pense ke c est l annee des suns , ils vont etre champion c est la meilleur equipe , un fan des lakers qui parle!!! boston va ce faire exploser par une equipe jeune genre chicago

  7. On ta rétorik été intéréssante juska ske tu diz ceci  » je pense ke c est l annee des suns , ils vont etre champion c est la meilleur equipe  » : jene mé pa du tt en doute lé capacité d suns loin de la il on le 2e meneur dla ligue ( kidd étan first pr moi ) et un cinq de dépar tonitruan cependant leur banc é desertik excepté barbosa ki anonce un soupcon de mirage mé le rest banks né pa la kon sle diz , hill é mignon mé ilé plu tt frai ( hélas kel gachi) !! jte propoz dimaginer une rencontr cont rlé spurs dan un context play off pr exempl ou lefectif a vmt dla profondeur jsui dsl é tu te doi de voir lé spurs gagnan pke mm si lé 5 de dépar se vale a pe prè le banc é bcp plu riche. lé spurz son dar ilfo ladmetr jlé deteste etan pr dallas mé lé suns non pa du tt létof d champion pr moi et si c pa lé spurs ki lé bate ce sera dallas …

  8. ba les suns on également boris sortant du banc puisque Grant Hill devrait être titulaire et Brian Skinner mais c est vrai que les James Jones qui pouvait rentré, joué 15min et enquillé a trois point ne sont plus la.
    Et pour se qui est des spurs a par El Manu, Ime Udoka qui approte beaucoup de banc et Matt Bonner qui a bien progressé cet été le reste du banc est vieux même si il y a des bon reste (comme Brent Barry qui peut shooter et Horry qui peut jouer l homme de l ombre, prendre des rebond un contre de temps en temps) ou alors ils son jeune et « Pop » ne fait pas beaucoup jouer les jeunes. Et c est un fan des spurs qui vous parle

  9. -San antonio ne sera pas champion selon moi les suns sont meilleurs et ils l ont montre deja cette annee en playoff seulemen avec cette injustice qui sest passe (exclusion de diaw amare..)ils ne pouvaient pas combattre loyalement.
    Suns devrait etre champion s il n y a pas de petage de plombs de Marion, d autant plus qu ils se sont renforce.Leur seul defaite pourrait venir d un manque de banc ou bien de blessure de amare par exemple.
    -J ajoute que Dallas, tant est il que je les deteste, sont meilleur que les spurs egalement ,ils l ont montre a plusieurs reprises en confrontation directe en saison reguliere et playoff.
    -Boston est une equipe magnifique et complete le recrutement du banc a ete assez bien fait malgres les imperatifs financier.
    PERKINS GARNETT PEARCE ALLEN ET
    La place de point guard se decidera entre T.Allen bon joueur mais qui doit encore faire ses preuves, eddy house bon joueur qui a de l experience en plus ou Rondo tres bon espoir qui va encore progresser.
    Ajoutons a cela l exceptionnel James Posey oui exceptionnel car pour moi il fait partie des tout meilleurs defenseurs de la ligue.
    Cette equipe est tres allechante mais comme vous l avez signale il faut voir leurs matchs pour en juger vraiment le potentiel!
    Donc pour moi avantage au SUNS.

  10. Avec une équipe en pleine possession de ces moyens, Denver pourrait faire partie de cette dernière liste. J attends la saison avec impatience parce que Iverson – Camby – Martin – Néné – Camby, ca fait du lourd quand même…

  11. De toute facon on vera qui est le meilleur en play-off mais pour l instant les champions en titre et les vainqueur 3 dernier titre sur 5 ont été remporté par les spurs. Et c est Pierce et non Pearce

  12. Pour les Celtics, il y aurait une « occasion » de dernière minute à saisir : Allan Houston, puisqu il n est pas certain que Thomas et les Knicks le conserve. Pourquoi pas puisque les Celts souhaitaient une gâchette comme Reggie Miller qu ils n ont pu obtenir.

  13. je suis tout a fait d accord avec vous, l accumulation de star comme aux Lakers, ou dans une moindre mesure a Miami il y a 2 ans ou encore Houston avec drexler, Olajuwon et barkley en 1997 ne fait pas gagner des titres.

    Et meme si ces joueurs sont intelligents, ce n est pas la panacé en matiere defense ,mais je suis quand meme impatient de les voir jouer ensemble.
    a cote hormis (a la rigueur)
    Rondo a la mene, Perkins au centre et allen qui sort du banc, c est le desert de gobi.
    bref playoff, apres, je ne sais pas.

    Phoenix sont comme bcp de gens mes petits poulains: moi qui fut eleve au Mickael Jordan, au Knicks au Pistons, et au jeu rugeux et defensif de l Est, et bien je dois dire que Phoenix m a fait kiffer le jeu de l ouest: deja en 1993 il developpait un jeu super attrayant,mais la avec Nash, Stoud, l eternel sous-cote Marion, plus Bobo, Hill (qui cartonne en presaison), et barbosa, c est vraiment classe.
    bon a moins que les joueurs se trouvent un fibre defensive ca risque de ressembler aux autres annees, sauf si Kobe venait a debarquer…..Nash-Kobé-Stoudemire
    LE BIG 3!!!!!

    Pour les spurs, je fais parti de ceux qui n aime pas les spurs: rien contre parker que certain adore que d autre deteste. moi….je m en fou, sa vie pipole je m en tape, ses « t as vu » a chaque phrase je m en fou, son rap de merde je m en cogne aussi. Rien a dire sur le terrain il dechire,meme si apres l euro il m a bien decu, plus par son comportement que par son jeu.
    alors oui parker est fort, Oui Duncan ets un dieu des fondamentaux, oui Ginobili a des eclair de genie, oui Bowen defend comme personne, Oui les Spurs on tout pour etre champion encore qq annees, mais OUI surtout je m ennuie a mourir en les regardant: Parke en tete de raquette, il temporise, soit penetre et ressort sur gino ou bowen qui tire, soit marque soit passe a duncan qui se retourne et marque: c propre c efficace mais c trop chianttttttttttttt

    Quoi qu il en soit, meme si la NBA ne me fait plus vibrer autant que dans les 90 s (ok,ok, je suis un vieux con nostalgique), et bien les cartes sont bien distribuees et il y aura bcp de choses interessantes a regarder cette annee: (dans le desordre):

    le BIG 3 reussira t il l exploit ,
    Kobe va t il bouger de LA
    Lebron peu il etre champion sans pippen
    Isiah thomas va t il revenir sur le terrain , histoire de pourri encore plus les knicks
    Calvin Booth restera t il le joueur le plus laid de la NBA
    greg oden a t il vraiment 19 et non pas 39 ans
    Iverson anthony et cambi vont t il reussir a faire decoller vraiment Denver
    Webber va t il trouver une franchise et gagner un titre sans demander un temps mort qu il n a pas a qq secondes de la fin
    Wayde va t il etre epargné par le blessure
    Toronto sera elle la premiere equipe canadiene championne NBA

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