Ce qu’il faut retenir des 24 dernières heures
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U21 en Europe : Les ténors allemands et français
Dans ce dernier article de notre dossier annuel sur la place des U21 dans les plus grands championnats européens (avant les coupes d’Europe et les bilans), voici l’Allemagne et la France, deux pays où le championnat national fait figure de bon élève en matière de U21.
Pour la 7e année consécutive, Basket Europe présente son étude sur la place des U21 dans les plus grands championnats européens. Avec, pour déterminer les deux meilleures compétitions dans ce domaine, la BBL allemande et notre Betclic Élite nationale. Ce dossier est réservé à nos abonnés, une communauté que vous pouvez rejoindre en vous rendant ici.
Voici donc venu le temps d’explorer dans le détail les deux championnats nationaux où les U21 de talent ont le plus le loisir de s’exprimer. Ce qu’ils font et bien, très bien même. Ce sont donc l’Allemagne et la France qui se partagent le privilège d’occuper conjointement cette première place du podium.
Ils seront suivis demain par leurs homologues des trois meilleures coupes d’Europe (Euroleague, Eurocup, BCL).
Bruno Ferret
Romuald Yernaux, coach de Charleville : « J’alerte depuis longtemps sur le raz de marée que les clubs français vont subir »
L’internationale Dominicaine, Esmery Martinez, a activé sa clause de sortie pour rejoindre la franchise WNBA du New York Liberty. Les Flammes de Charleville sont à leur tour victime de la prégnance de la ligue américaine. Le coach Romuald Yernaux tire la sonnette d’alarme.
« C’est une décision brutale pour le groupe et sur laquelle nous sommes impuissants. J’alerte depuis longtemps sur le raz de marée que les clubs français vont subir et nous en voyons les premiers effets, » déplore le coach Romuald Yernaux sur le site du club. « Nous prenons cette décision avec beaucoup d’amertume car c’est une joueuse qui est arrivée en retard et sur laquelle nous avons été patients. Même si au départ, tout n’a pas été simple pour elle, je lui ai fait confiance en l’intégrant dans le starting five. Nous lui avons donné beaucoup de choses et d’opportunités et au final lorsque nous arrivons sur les échéances les plus importantes, la joueuse s’en va pour des intérêts qui lui sont propres à elle et à son agent ».
La rédaction
Donte DiVincenzo et l’équipe d’Italie : « Mon désir est de porter le maillot bleu »
L’arrière des Minnesota Timberwolves Donte DiVincenzo est proche de jouer pour l’équipe d’Italie cet été à l’EuroBasket.
Le directeur sportif Gigi Datome et le coach Gianmarco Pozzecco ont dîné à Minneapolis avec Donte DiVincenzo en la présence de l’international des Detroit Pistons, Simone Fontecchio. Le joueur né dans le Delaware, mais qui possède des origines italiennes vient de déclarer à la Gazzetta qu’il est enchanté par ce premier contact.
« C’était vraiment agréable de rencontrer l’entraîneur. Ils m’ont tous fait une excellente impression. Nous n’avons pas parlé de basket et, honnêtement, d’une certaine manière, c’était aussi très agréable. Je pense que ce dîner a été très productif et, en même temps, je me suis senti à l’aise avec tout le monde, et évidemment avec Simone aussi. »
Quand va t-on passer aux choses concrètes ?
La rédaction
SCABB : Une ambition de monter en Betclic Elite avec un budget de 7-8 M€
Le SCABB (Saint-Chamond Andrézieux-Bouthéon Basket) a lancé son projet de développement sur cinq ans, nommé « L’Union Sacrée » qui comprend la montée en Betclic Elite.
Jeudi, une soirée a réuni près de 800 personnes à l’Arena Saint-Étienne Métropole dont Jean-Pierre Hunckler, président de la FFBB, et Philippe Ausseur, président de la LNB.
« L’Union est la base de notre projet, nous voulons faire de notre club une référence au niveau local et au niveau national, » a déclaré David Despinasse, le président du SCABB.
La rédaction
Romuald Yernaux, coach de Charleville : « J’alerte depuis longtemps sur le raz de marée que les clubs français vont subir »
L’internationale Dominicaine, Esmery Martinez, a activé sa clause de sortie pour rejoindre la franchise WNBA du New York Liberty. Les Flammes de Charleville sont à leur tour victime de la prégnance de la ligue américaine. Le coach Romuald Yernaux tire la sonnette d’alarme.
« C’est une décision brutale pour le groupe et sur laquelle nous sommes impuissants. J’alerte depuis longtemps sur le raz de marée que les clubs français vont subir et nous en voyons les premiers effets, » déplore le coach Romuald Yernaux sur le site du club. « Nous prenons cette décision avec beaucoup d’amertume car c’est une joueuse qui est arrivée en retard et sur laquelle nous avons été patients. Même si au départ, tout n’a pas été simple pour elle, je lui ai fait confiance en l’intégrant dans le starting five. Nous lui avons donné beaucoup de choses et d’opportunités et au final lorsque nous arrivons sur les échéances les plus importantes, la joueuse s’en va pour des intérêts qui lui sont propres à elle et à son agent ».
La défection tombe au moment où Charleville va jouer les playoffs et la finale de la Coupe de France, sachant que Esmery Martinez produisait 8,2 points, 6,9 rebonds et 12,2 d’évaluation. Romuald Yernaux met en relief les difficultés de La Boulangère Wonderligue à se situer dans le contexte international :
La rédaction
Euroleague féminine : Gabby Williams, Iliana Rupert ou Emma Meesseman, qui va être élue MVP ?
Il ne reste désormais plus que trois candidates en lice pour remporter le trophée de MVP de l’Euroleague de la saison 2024-25 dont deux Françaises !
La Belge Meesseman, star de Fenerbahçe, vise un troisième titre consécutif. Sa coéquipière Gabby Williams et la pivot de Mersin, Iliana Rupert, sont ses deux concurrentes.
Emma Meesseman (1,93 m, 31 ans) :
18,1 points, 6,5 rebonds et 4,5 passes pour 24,1 d’évaluation.
Iliana Rupert (1,94 m, 23 ans) :
16,5 points, 8,0 rebonds et 2,7 passes pour 21,6 d’évaluation.
Gabby Williams (1,80 m, 28 ans) :
14,1 points, 5,6 rebonds, 3,8 passes et 2,8 interceptions pour 19,8 d’évaluation.
La rédaction
Vassilis Spanoulis, coach de Monaco : « J’en ai assez de nous voir ne pas défendre »
Le coach de l’AS Monaco était en colère après ses joueurs suite à la défaite face au Panathinaikos (76-88).
« Nous n’étions pas au niveau requis pour un match comme celui-ci, nous avons eu ce que nous méritions. J’en ai assez de nous voir ne pas défendre. Un match, l’équipe défend, le suivant, non. Je fais tout mon possible pour corriger la situation et nous continuons. Notre force mentale et notre préparation avant le match n’étaient pas à la hauteur de mes attentes.
Nous sommes exactement là où nous méritons d’être cette année. Ce n’est pas facile quand on arrive en milieu d’année de donner sa philosophie et son identité à l’équipe. Je fais de mon mieux. La chose la plus difficile pour moi est de changer notre force mentale et notre attitude dans la façon dont nous abordons les matchs. Nous sommes une équipe qui peut battre tout le monde et perdre contre tout le monde. Je n’aime pas ça. Je préférerais que mon équipe soit à « 7 » tout le temps, plutôt qu’à « 10 » une fois et à « 2 » la fois suivante. Je préfère la stabilité.
La rédaction
Le PDG de l’Euroleague à propos d’une ligue NBA en Europe : « Nous n’avons pas besoin d’un sauveur »
Le PDG de l’Euroleague, le Lituanien Paulius Motiejunas est visiblement très énervé par la perpective de voir une ligue pilotée par la NBA et la FIBA faire de l’ombre à son organisation.
« Nous avons une compétition solide et un grand projet pour l’avenir. Nous avons une vision claire de ce que nous voulons faire et de la direction que nous voulons prendre. Il est clair que nous n’avons pas besoin d’une autre ligue, nous n’avons besoin d’aucun sauveur », a t-il déclaré à la chaîne espagnole Movistar+.
Le fait de ne pas être inclus dans le projet de la NBA/FIBA irrite Paulius Motiejunas.
« Nous continuons d’affirmer que nous avons le meilleur championnat d’Europe, avec les meilleurs supporters, la base sur laquelle repose le projet. Nous avons de grandes équipes comme le Real Madrid et de nouveaux noms importants comme le Paris Basketball qui font une entrée remarquée sur un nouveau marché. Nous sommes assurément forts. Le bruit autour de l’arrivée de la NBA en Europe n’arrange rien, et je pense que la seule solution est que nous travaillions tous ensemble. Notre seule préoccupation devrait être de remplir ces salles, d’offrir le meilleur produit possible… cela devrait être l’objectif de tous, et non de faire du bruit qui nuit à ce produit et de créer rapidement quelque chose qui détruit ce que nous avons. »
La rédaction
Mathias Lessort, peut-être un retour pour les playoffs d’Euroleague
Selon son coach Ergin Ataman, Mathias Lessort devrait être présent au Final Four de l’Euroleague si le Panathinaikos est qualifié. Et peut-être même pour les playoffs.
Mathias Lessort se remet d’une fracture du péroné subie le 19 décembre lors d’un match contre Baskonia Vitoria et les estimations initiales prévoyaient un retour à la compétition quatre mois plus tard. La convalescence de l’international paraît être dans les temps.
La rédaction
Tours : Personnage clé, Bruno de L’Espinay quitte la présidence du club
Président et aussi principal contributeur financier de l’UTBM puis du TMB depuis 2014, Bruno de L’Espinay, 70 ans, se retire de la présidence du club.
Bruno de L’Espinay a été la cheville ouvrière du Tours Métropole Basket qui sous sa présidence est passé de la NM2 à la Pro B une saison avant de retomber en NM1. Si le président-fondateur du Groupe Artus va continuer d’être le partenaire principal du club tourangeau, il n’aura plus aucun rôle puisqu’il a démissionné également du conseil d’administration.
« Depuis douze ans, j’ai donné beaucoup pour ce club, aussi bien en temps que financièrement, avec aussi le groupe Artus qui a donné des sommes très importantes, témoigne Bruno de L’Espinay à la Nouvelle République.
La rédaction
Italie : Miro Bilan MVP du mois pour la troisième fois
Le pivot croate Miro Bilan (2,13 m, 35 ans) a été élu Joueur du mois de mars de la Serie A italienne. Un trophée qu’il a déjà obtenu en octobre et décembre.
Germani Brescia est co-leader du championnat italien avec Trapani et la Virtus Bologne et l’ancien pivot de Strasbourg et de l’ASVEL n’est pas étranger aux excellents résultats de son équipe.
La rédaction
Euroleague féminine : Leila Lacan finaliste au trophée de Meilleure Jeune
Leila Lacan (Basket Landes) est en lice pour le trophée de la Jeune Joueuse de l’Année en Euroleague avec l’Espagnole Iyana Martin Carrion (Perfumerias Avenida) et l’Italienne Mathilda Villa (Reyer Venise). Cette saison, ce sont les joueuses nées en 2003 et après qui étaient éligibles à ce prix.
Née le 2 juin 2004, Leila Lacan (1,81 m) a été remarquée en Euroleague par son énergie et sa défense tout en alignant 8,7 points, 2,8 passes décisives et 1,9 rebond par match en 23 minutes de moyenne. Basket Landes s’est qualifié pour les quarts de finale -où l’équipe de Julie Barennes s’est faite éliminer par le USK Prague- après avoir débuté par les qualifications.
La rédaction
Un coach belge spécialiste de la main faible
Pascal Meurs est un entraîneur belge passé par les équipes jeunes de Valence et aujourd’hui au Mexique. Il est aussi un spécialiste de la main faible. Explications.
Pascal Meurs est actuellement l’entraîneur d’Ángeles à Mexico dans la Ligue CIBACOPA. Auparavant, il a formé des jeunes talents d’élite au Valencia Basket en Espagne et a été coach à l’EuroProBasket, une académie internationale dédiée à la formation des futurs joueurs professionnels. Sa carrière d’entraîneur couvre des expériences en Belgique, aux Pays-Bas, en France et au Luxembourg. C’est ainsi qu’il a été assistant-coach et entraîneur du Centre de Formation d’Arras en Ligue Féminine.
La rédaction
